Artistes Endorsés par Bahia Steel

  1. Tryo
  2. Guem
  3. Lojo
  4. Cyril Atef
  5. Jorge Bezerra
  6. Artistes endorsés Brésil

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Tryo

TRYO

TRYO +

BIOGRAPHIE

Les graines semées, en 1995, autour du feu de camp pyrénéen qui vit Manu, Guizmo et Mali harmoniser leur voix pour la première fois, ont donné des plantes luxuriantes. Le quatuor à la main verte ne s’est pas contenté d’exploiter l’énergie fossile du reggae de ses débuts. Optant pour une créativité renouvelable, Tryo s’est épanoui en s’ouvrant au monde, tout en restant fidèle à ses valeurs originelles d’engagement et de convivialité.

« Ce que l’on sème », leur quatrième album studio, récolte ce qu’ils ont vécu. Le contexte de l’actualité nationale aurait pu piéger le groupe dans l’étroitesse hexagonale. Mais Tryo ne chante pas forcément là où on l’attend. Un titre, « Marcher droit », règle son compte à la désillusion du 6 mai 2007 et à l’ultra-libéralisme du nouveau président, tout en mettant en perspective de vrais enjeux : la valeur du libre-arbitre, le droit à la différence (« Marcher droit avec nos travers / Marcher de travers mais dans nos droits »).

Mais de la même façon que le groupe a choisi de s’impliquer encore plus activement au côté de l’association Greenpeace pour souligner des urgences à l’échelle mondiale, sa musique et ses textes ont voyagé avec la curiosité de globe-trotters.

Moins frontal peut-être que dans « Mamagubida » (1998), « Faut qu’ils s’activent » (2000) et « Grain de sable » (2003), l’engagement de « Ce que l’on sème » sait user de la poésie et des métaphores pour sensibiliser l’auditeur aux soubresauts du monde. Par la voix « rastagénique » de Guizmo, c’est un arbre qui prend la parole dans « Tombé mal » pour interpeller l’homme qui, par la déforestation, se fait encore plus de mal à lui-même qu’à la forêt. Comme souvent dans ce disque, la thématique d’une chanson pousse la musique vers d’autres continents. Ici le chant en dialecte Eton de la Camerounaise Sally Nyolo imprègne le morceau d’animisme africain.

De la même façon, la passion de Manu pour les raggas hypnotiques de la musique indienne a pu illustrer « Arhundati Roy », consacré à la romancière du même nom, célèbre pour son activisme pacifiste et social dans la patrie de Gandhi. Autre horizon, celui de la cause Touareg évoquée dans « Abdallah » au son de la guitare slide de Daniel Jamet (ex Mano Negra) gorgée de ce blues dont aiment jouer les « hommes bleus ».

Daniel jouant du cajon Schlagwerk

Daniel jouant du cajon Schlagwerk +

Le reggae acoustique reste un vecteur de conviction, de chaleur, de mélodies vocales dont les entremêlements sont particulièrement bien mis en valeur par la production de Dominique Ledudal. Premier single tiré de l’album, « Toi et moi » confronte l’omniprésence de l’information, la dureté des temps et la singularité d’une histoire d’amour, le plaisir fragile de l’instant présent. Pont parfait entre le Tryo d’hier et celui d’aujourd’hui, le morceau fusionne l’évidence des contretemps jamaïcains et le raffinement des arrangements de cordes de Vincent Segal (présent dans quatre autres titres).

Enregistré dans l’isolement reposant d’une vieille et grande maison de Saint-Rémy de Provence, « Ce que l’on sème » résonne aussi de la tendre nostalgie des musiques brésiliennes. Une samba, guidée par les percussions de Pablo Mendez, finit par envahir « Quand les hommes s’ennuient ». La féminité mélancolique d’une bossa chantée par Mali porte idéalement l’histoire de cette femme en quête d’enfant dans « Une saison de trop ». Décoré de l’émouvante trompette d’Ibrahim Malouf, « El dulce de leche » vibre également d’une fibre latine pour évoquer cette chronique intime de l’émigration et du statut de réfugié politique, inspirée du parcours de Daniel, le percussionniste chilien du groupe.

Cette musicalité rayonnante, en phase avec l’humanisme alter mondialiste du quatuor, perdrait de sa vigueur sans la dose nécessaire d’humour et de légèreté. Ska endiablé, boosté par la fanfare des Fils de Teuhpu, « Jocelyne » et son histoire de cœur « piercé » laisse entrevoir de belles fêtes scéniques. Chez Tryo, c’est aussi « ce que l’on aime ».

DISCOGRAHIE

LIENS INTERNET

www.tryo.com

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Guem

GUEM

GUEM +

BIOGRAPHIE

« COULEURS PAYS »

Les couleurs rythmées des peaux ruissellent et rebondissent d’un pays à l’autre

Guem pratique la musique traditionnelle et la musique de transe dès son plus jeune âge. A seize ans il arrive en France et joue régulièrement des percussions dans les bals musettes et autres lieux musicaux pour gagner sa vie, même s’il ne pense pas encore en faire son métier. Dès 1966 il intègre des groupes de variété.

Sa carrière de musicien-danseur démarre réellement en 1968 quand il est engagé par le Centre Culturel Américain. Il donne des cours de percussion et de danse - deux arts indissociables à ses yeux - et ne cesse de travailler pour se former à toutes les percussions du monde. Il apprend les chorégraphies et les rythmes dans les salles de spectacles en jouant sur ses genoux ! « On devient musicien quand on dépasse la technique, mais la technique est indispensable ».

Guem accompagne désormais les plus grands noms du jazz mais aussi la variété, les groupes Afro-cubains, Africains, Orientaux et Brésiliens. C’est en 1973 que Guem enregistre son premier album « Percussions Africaines ». Son premier grand succès arrive en 1978 avec l’album : « Guem Zaka », enregistré avec ses élèves du Centre Culturel Américain. Il compose à cette époque son morceau le plus célèbre : « Le serpent » qu’il ré-enregistre en 1996 pour le générique de l’émission « ça se discute » de J. L. Delarue.

Guem est invité à jouer sur les scènes du monde entier. De ses nombreux voyages Guem a apporté des rythmes aussi nouveaux qu’entraînants. Il est le seul percussionniste à aborder une gamme de rythmes aussi large dans son travail sur les danses traditionnelles de différents pays et dans ses créations.

Guem nous fait partager sa passion des percussions : congas, djembé, darbouka, bongo, doum-doum, accessoires etc… et sa passion de la danse.

Sa musique est sans frontière et de toutes les couleurs : « Elle appartient à tout le monde et, comme j’aime à le dire, le rythme n’est pas noir…chaque être a quelque chose à donner, mon but est de le réveiller ».

Guem

DISCOGRAPHIE

Disques vinyles

CD

DVD

LIENS INTERNET

www.myspace.com/guemworld

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Lojo

LOJO

LOJO +

BIOGRAPHIE

"Depuis 25 ans et quelques poussières d'étoiles, on aime Lo'Jo car ce groupe a ceci d'unique de n'avoir jamais vécu qu'au galop de sa propre monture, à l'écoute de son coeur et des pulsations de ses frères de l'ombre. Lo'Jo cultive les rencontres comme une condition nécessaire à son développement vital et artistique, allant à la recherche d'âmes soeurs partout en France et dans le monde, se (re)produisant là où le besoin de culture devient une urgence, dans le
Sahara, pour les prisonniers des geôles françaises ou les peuples déplacés du Caucase.
Entre 1982 et 1988, des années de tâtonnement, autour d'un collectif d'artistes sans plan de carrière, ont d'abord été nécessaires pour développer l'idée, dessiner une ligne de vie. Puis ce furent les années d'un apprentissage décisif des spectacles de rue avec la compagnie Jo Bithume entre 1988 et 1991. Au sortir de cette expérience, Lo'Jo décide de se concentrer sur son métier de créateur de musiques chantées, sans jamais rompre son lien vital avec les arts de
la rue et du chapiteau.
Entre 1990 et 2000, Lo'Jo tourne et enregistre régulièrement, avec un collectif de musiciens mouvant d'où se dégage petit à petit le noyau actuel du groupe : Denis Péan, âme - poète du collectif, parolier, chanteur et multi instrumentiste; Richard Bourreau aux trilles et aux arpèges magiques de violon depuis le début de l‘aventure; Nadia et Yamina Nid el Mourid aux ensorcellements vocaux et autres séductions de sax., de bambou... Kham Meslien qui
relève le défi du groove sur toutes les prosodies les plus complexes de Denis, rejoint depuis Bazar Savant par Franck
Vaillant aux feux d'artifices rythmiques; tous créateurs de musiques inspirées qui prennent nos âmes contre leurs hanches. La plasticité du groupe a donné des albums bigarrés, mêlant toutes les influences au gré des rencontres et du cheminement musical de chacun : accents jazz, reggæ, rock, maloya, venus d'Orient, d'Afrique ou du bitume français...
Les années 2000 - 2003 sont une étape à distinguer dans ce mouvement perpétuel qu'est le projet Lo'Jo : l'ancrage de plus en plus profond en Afrique, la découverte du Sahara et des musiques rebelles d'Outre Méditerranée donnent naissance au premier Festival au Désert.
A la fête des vivants, au règne des choses imparfaites, nos amis nous reviennent des étoiles avec un album, Cosmophono, qui porte un nom hautement symbolique pour un groupe qui chante depuis toujours les cosmologies les plus sauvages et les beautés les plus délicates de la vie. Les amoureux du groupe vont retrouver tout ce qui fait de Lo'Jo une constellation sans pareille dans le cosmos musical : un orchestre extraordinaire de tous les sons du monde, de toutes les époques, naturels ou issus d'électroniques contrées; un trio vocal très magnifique ; un univers
d'une poésie rugissante et consolante.
Ceux qui ne connaissent pas Lo'Jo auront l'occasion d'entrer dans cette cosmogonie en marche avec l'album peut
être le plus abouti du groupe. Jamais Lo'Jo n'avait réussi à ce point à trouver l'équilibre entre une inspiration débridée qui a donné des moments d'anthologie baroque et une unité d'inspiration qui a toujours couru d'un album à l'autre.
Cosmophono a une couleur, un ton, une densité qui en fait sa singularité au sein de la foisonnante production de Lo'Jo. L'unité vient d'abord des textes qui nous embarquent tous dans le monde de Denis Péan - poète voyageur, coupeur de palabres, artisan de paraboles nerveuses : on s'embarque avec lui dans sa vie nocturne, on part avec lui sur l'océan, vers des terres indociles, on s'assoit avec lui au café de la marine pour voir un marin roux « danser tous les bons dieux de ses tempêtes »... L'unité est également sonore : une balance parfaite a été trouvée, grâce au
travail des réalisateurs Philippe Tessier-Ducros et Pierre Fruchard, entre la richesse de l'instrumentation et une couleur générale obtenue à partir de la touche vocale de Lo'Jo et d'un sextuor qui arrive au point de l'alchimique incandescence musicale.
Cosmophono met l'attention de l'auditeur toujours en alerte. C'est l'effet de chansons totalement abouties où jamais rien n'est laissé à la facilité, mais également d'un savant arrangement de l'album. Jamais deux chansons ne se suivent sans jouer sur un effet de contraste, de rythme, de timbre, de traitement vocal, et en même temps l'unité de ton fait que l'on glisse d'un morceau à l'autre sans pouvoir arrêter la lecture comme un enfant qui veut la suite de son histoire... et qui demande qu'on la lui relise tous les soirs. Cosmophono a une dimension addictive qui fait qu'à peine fini le dernier titre qui clôt l'album sur une note bouleversante («La Liberté ») , on a besoin de retourner à « Petit courage » qui l'ouvre ; une de ces chansons aux vertus consolantes pour nos âmes endolories. Et on repart pour une épopée vivante en 12 titres d'une incroyable égalité d'inspiration. Lo'Jo nous offre un bouquet d'étoiles, issu d'un Big bang qui a eu lieu il y a maintenant 25 ans et quelques rayonnements cosmiques. Puisse le bruissement de ces astres se frayer un chemin vers nos vies et les dorer d'une poussière de la nuit des temps."

Alain Gabet

DISCOGRAPHIE

LIENS INTERNET

www.lojo.org

www.myspace.com/lojotriban

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Cyril Atef

Cyril Atef

Cyril Atef +

BIOGRAPHIE

Né à Berlin de mère française et de père iranien, Cyril passe ses dix premières années à Berlin. La famille déménage à Los Angeles en 1978. Cyril tape sur des cartons à trois ans et commence à suivre des cours privés à six ans.
Son papa lui achète sa première batterie quand il a onze ans. A Los Angeles, Cyril est heureux... Il se fait virer à treize ans d'une école catholique et ses parents l'envoient chez ses grands-parents à Dole, dans le Jura, où il reste trois ans. Sa période hardcore-punk commence....
Il retourne vivre à Los Angeles en 1984 et intègre la Musician's Institue (P.I.T) à Hollywood. Il travaille énormément et fait de gros progrès. Ça le booste pour devenir musicien et en faire son métier. Il joue avec des groupes de différents styles sur la scène club de Los Angeles. Pendant l'été 85 il tourne avec un groupe afro-américain dans le sud des Etats Unis. Il vit trois mois à la Nouvelle Orléans, un mois à Miami, rencontre des musiciens locaux de New Orleans et joue dans un certain nombre de clubs de la Louisiane.
Après avoir fini la P.I.T, il joue de plus en plus à Los Angeles mais n'arrive pas encore à gagner sa vie avec la musique ; il fait divers petits jobs la journée et joue presque tous les weekends. Son but est d'économiser pour se payer la prestigieuse école de Boston, la BERKLEE COLLEGE OF MUSIC.
Il part étudier à Berklee début 1989 et fait trois semestres jusqu'à juin 1990. Il apprend beaucoup de nouvelles techniques : l'harmonie, la mélodie et l'arrangement.
Il joue avec beaucoup d'élèves et forme de nouveaux groupes.

Cyril Atef

Cyril Atef +

Il commence à jouer de plus en plus à Cambridge sur le campus de HARVARD, avec le groupe "OZAIN", un quartet formé avec deux brésiliens et un argentin. Le groupe joue dans la rue dès qu'il fait beau et passe le chapeau... La jeunesse étudiante s'éclate à danser dans la rue.
Avec ses économies, le quartet décide de se payer un aller Boston-Bruxelles en juin 2009 et fait une tournée "de rue" dans différentes villes européennes : Bruxelles, Amsterdam, Berlin, Munich, Innsbruck, Avignon (festival pendant 3 semaines) et Paris.
Le groupe joue quelque "gigs" trouvées sur Paris et trois membres du quartet repartent pour Boston sans Cyril qui n'a plus d'argent pour continuer ses études.
Il joue avec Princesse Erika pendant quatre ans, rencontre des musiciens sur Marseille et fait des allers-retours dans le sud.
Il commence à jouer dans des groupes de styles divers : funk, africain, rai, jazz improvisé. Il essaie de varier une large palette de styles musicaux, toujours curieux et ouvert à de nouvelles expériences.

DISCOGRAPHIE

cyril atef à enregistré pour......

GEGGY TAH - 1 album
-M- - 4 albums ( dont le prochain pour l'automne 2009) ALAIN BASHUNG - 2 titres PRINCESSE ERIKA - 2 albums DABY TOURE - 1 album SOUAD MASSI- 1 album RENE LACAILLE - 1 album BIRDY NAM NAM-1 album GOTAN PROJECT - 1 album
DUOUD- 2 albums
YVES ROBERT- 3 albums
GHETTOBLASTER -1 album
SAIAN SUPA CREW 1 album
LA BRIGADE- 1 album
WINSTON MC ANUFF - 1 album
ROUDA - 1 album
BRIGITTE FONTAINE- 1 album
BRUNO MAMAM- 1 album
BERNARD LAVILLIERS -2 albums

à joué avec ......

-M-
CHEB MAMI
L'ORCHESTRE NATIONAL DE BARBES
ALAIN BASHUNG
ASWAD
CHABA FADELA ET CHEB SAHRAOUI
GARLAND JEFFREYS
PRINCESS ERIKA
DANIEL DARC
OLIVIA RUIZ
DIDIER WAMPAS
AMADOU ET MARIAM
NOSFELL
AN PIERLE+KOEN
CAMILLE
OXMO PUCCINO
ARNO
MAMA OHANDJA

Cyril Atef a formé plusieurs groupes avec d'autres musiciens parisien depuis les années 90's :

LA KEMIA- 1 album(electro- magrehb) avec antoine illouz et mehdi haddab OLYMPIC GRAMOFON- 1 album avec julien lourau,vincent segal,sebastien martel, eic lohrer et dj shalom TOULOULOU ( disco) 2 singles avec zaf zapha et christopher board HOPEN COLLECTIVE (afro'funk) avec jean-fi dary,papa noel,glaucus linx,xavier dessandre et baco mikaelian BAND OF GNAWA-(rock gnaoui) avec loy ehrlich, akram sedkaoui,louis bertignac et 4 gnawas d'essaouira

a formé avec vincent segal le groupe BUMCELLO en 1999

6 albums, 1 victoire de la musique 2006 dans la categorie musiques électroniques et dance a remixe TARAF DE HAIDOUKS et MIGHTY UNDERDOGS

BUMCELLO a collaboré sur scene et sur album

TOMMY JORDAN
CHOCOLATE GENIUS
BLACKALICIOUS
LATEEF THE TRUTH SPEAKER
MAMA OHANDJA
OMAR HAYAT
MAGIK MALIK
CHEIKHA RABIA
BIRDY NAM NAM
NATHALIE NATHIEMBE
-M-
IBRAHIM MAALOUF
HILAIRE PENDA
SUSHEELA RAMAN
STANLEYBECKFORD
AMADOU ET MARIAM
SEB MARTEL
DJ SHALOM
DJ MEHDI
113

LIENS INTERNET

www.bumcello.com/page.php
www.myspace.com/congopunq

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Jorge Bezerra

Jorge Bezerra

Jorge Bezerra +

Grammy Awards Inetrnational 2010 : meilleur disque Jazz avec le groupe Joe Zawinul Syndicate

BIOGRAPHIE

Jorge Bezerra Jr est un sorcier brésilien de la percussion, particulièrement habile à tirer de sons poétiques des "atabaques"
instrument sacré de la religion afro-brésilienne .

Il est né à RIO de Janeiro en 1978 d'un mère prêtresse du candomblé (religion afro-brésilienne ) et d'un père (alabê ) maitre des (atabaques)
dans la religion de candomblé .

Il arrive en FRANCE en 1998 où il collabore avec le prestigieux groupe SAINT GERMAIN .

Depuis il à joue avec des divers artistes, des différents styles musicaux partout dans le monde. Ca façon de jouer, de mélanger les rythmes c'est sa différencde, c'est ce qui lui à permis d'être demandé par plusieurs et importants artistes tels que: Cheick Tidyane Seck, Saint Germain, Bebel Gilberto, Carlos Lyra, Sixun, Joe Zawinul Syndicate, Carlos Santana, Monica Passos, Deodato Siquir, Celso Fonseca, Ben Sidran, Clementine Mitz, Jovanotti, Akymura Akyko, Saghendi, Gospel pour 100 voix, Antonio Villeroy...

Avec le groupe "Joe Zawinul Syndicate" Jorge Bezerra Jr à gagné le GRAMMY AWARDS MUSIC 2009 (best album jazz contemporany). Jorge Bezerra Jr continue son parcours musical toujours actif et en ascension, en ce moment il est en préparation pour la sortie de son 1ére album.

LIENS INTERNET

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Artistes endorsés Brésil

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